PassésousSilence

Au commencement était le verbe. Le verbe était homme. ET l'homme était Amour. Ca aurait pu commencer comme cela et continuer aussi bibliquement Sauf que quand une femme se mêle de vos affaires, commencez à vous inquiéter. Surtout si cette femme a l'apparence de votre épouse. Vous êtes riche et beau? Vous remplissez la première condition. Vous avez une bonne situation ? Vous entrez dans le profil. Vous êtes intelligent? Le défi est encore plus fort à relever. Vous désirez un enfant plus que tout au monde ? Vous êtes bon pour passer à la poêle. Sachant que les quatre conditions sont réunies, sachant que le mâle est bien trop naïf pour voir, une fois aveuglé par l'amour, qu'il est train de creuser sa tombe, combien de chance a selon vous cet homme de s'en sortir. Aucune? C'est un peu fort. Mais vous n'êtes pas loin de la vérité. La vérité justement, c'est que vous venez d'entrer dans la quatrième dimension. Celle où certaines femmes, pour être plus précis, (sans misogynie aucune, mais un agacement certain pour ses pubs anti-mâles sur les violences conjugales, qui tournent en boucle) vont utiliser toutes les armes que leur donne Madame Justice pour anéantir leur mari. Vous l'aurez compris, c'ette histoire est un peu la mienne. Et celle de bien des hommes croisés lors d'audiences. La contrainte est que dans tous les cas on vous entraîne dans l'isolement, acculé à être pauvre. Pourquoi? Car tout ce que vous possédez, à partir de l'instant ou la perversité à pousser votre épôuse à se lancer au combat de la haine, elle estime qu'il est sien. Tout ce que vous êtes, tout ce que vous avez lui appartient. Vous devenez l'ascenseur social de madame Tout ce que vous avez construit, économisé n'est plus pour vous, votre femme se considère comme votre débitrice. et comme vous avez de l'argent